(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
« Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son. » Kaye Mortley
280... Rhône
Sons trouvés, flâneurs croisés en arpentant les berges du Rhône: promenade impressionniste.
Participants
mix: hervé birolini
stagiaires:
florence pezon
julien blaise
eva
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
Anne- Marie (portrait n° 2, réaliste)
Anne-Marie, coiffeuse, née d'une famille de coiffeurs dans le Pas de Calais, émigre jusqu'au quartier de la Roquette à Arles...
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
« Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son. » Kaye Mortley
Arles : quartier d'été/passages
pièce n°1, n° 2, n°3, n°4, n° 5
(1) le café jaune
"Dans cette maison Van Gogh n'est pas né, n'a pas vécu, n'est pas mort non plus..."
(2) la Roquette
C'est l'heure de la sieste, en été... qu'est-ce que vous entendez?
(3) Les arènes
Les gladiateurs sont revenus...
(4) L'église des Frères prêcheurs
Une chanson de Léonard Cohen hante les arcs-boutants, et la sœur de Nan Goldin le sanctuaire: installation.
(5) Les cryptoportiques
Promenade parmi des gouttes d'eau: les pierres, elles pleurent...
Participants:
mixage : mehi ahoudig
stagiaires:
nicolas oudin
jeanne Garreau
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
Attentes
J'ai connu d'heureux et de tristes voyages (Apollinaire)
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
« Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son. » Kaye Mortley
Stage Phonurgia Nova Octobre 2015
Technique : Sophie Berger
AU BOUT DE LA RUE...
Déambulation/ Dé-marche:
Partir de la rue dite "du bout d'arles" à l'époque de Van Gogh...
C'était vers les bords du rhône... vers la gare... vers les maisons closes.
Partir par quatre chemins.
A la recherche du bout d'arles.
Proposer une certaine lecture (subjective) de la topographie de la ville et ses limites, composée de ce qui se rencontre, s'entend, se voit (traduit en son), se pense, se ressent chemin faisant.
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
« Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son. » Kaye Mortley
C'est moi qui pars
Lettre d'adieu et musique ferroviaire.
Paricipant:
mix: mehdi ahoudig
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
« Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son. » Kaye Mortley
C'est un secret
Tentative de suivre à la trace ce qu'on ne trouvera jamais.
Que font ces oiseaux au bord de la fenêtre?
C'est un secret.
Participants:
mixage: michel créis
stagiaires:
sylvain richard
amanda petitgrand
sophie pillods
laurène
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
Ce jour-là (intitulé d'après le livre de willy ronis, et dont nous avons appliqué la démarche à un travail sonore)
Ce jour-là : quitter la ville...
Ce jour-là: la procession romaine
Ce jour-là: le péplum au théâtre antique
Ce jour-là: une vie bascule
Ce jour-là: de vieux livres, une maison déserte...
Ce jour-là: des pierres tombales
Ce jour-là: quitter les sons
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
Clarines
Un samedi en Arles: mistral, corrida, mariages... Et la bande son du Mépris de Godard se déverse dans les petites rues autour du Théâtre antique, se mixe avec un bruit de bennes et des cris de martinets...
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
« Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son. » Kaye Mortley
Débordement(s)
Tant de bois flottés (sonores), ces souvenirs péchés au fond de la mémoire de certains qui ont vécu les inondations de 1993...
En contre-point, la petite musique d'autres qui n'ont pas connu le déluge...
Participants:
mix: mehdi ahoudig
stagiaires:
jean-jacques cornillon
laurent cistac
hannah el fakir
julie hamon
sandrine denier
cathy perrocheau
pascale boucherie
lisa diaz
raphael lazizi
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
Des murs
Si on vous dit "mur" vous pensez à quoi?
Promenade sonore parmi murailles et murs et murmures.
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
« Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son. » Kaye Mortley
Stage Phonurgia Nova Mai 2015
Technique : Jules Wysocki
L'EFFET PAPILLON
Je pense au temps des tours
au temps féodal des tours
Je pense au tours jumelles du World Trade Centre
Je pense à la présence rassurante d'une tour
qui règne
qui protège
qui apporte la prospérité
qui attire les admirateurs
En Arles une nouvelle tour se dresse sur l'horizon...
C'est celle de Frank Gehry qui fera 56 mètres de haut et qui sera dédiée à l'art contemporain.
Dé-tour sonore parmi d'autres tours de la ville...
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
« Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son. » Kaye Mortley
Nuage: "Ensemble de minuscules particules d'eau", disait l'un...
"Montagne légère, instable, déracinée", disait l'autre... Un jour nous nous sommes mis à écouter les nuages... nous y avons trouvé notre musique à nous.
Participants
Christina Firmino |
Françoise Delignon |
Véronique Brindeau |
Laure Cointe |
Cerise Marechaux |
Charlotte Jullien |
Claire Dutrilleux |
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
« Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son. » Kaye Mortley
atelier documentaire sonore Phonurgia Nova, Toussaint 2014
par
capucine, céline, françois, marie, maryse, ruxandra
en compagnie de
kaye mortley et émilie mousset.
remerciements aux
fondation vincent van gogh,
musée réattu
et à tous ceux qui ont prêté leur voix et leur imaginaire à cet exercice
La chaise: c'était bien cela notre "sujet".
Donc
se défilent des chaises... chaises inertes, chaises mouvantes, chaises banales, chaises bancales, chaises design, chaises douloureuses, chaises de cirque, chaises ludiques, et même bleues.
Chaises (presque toujours) muettes... à moins d'être provoquées, dérangées, mises en paroles.
Chaises: prétextes à fabriquer un récit sonore, poreux et discontinu... à réinventer par chaque auditeur.
Mais une fois notre petite pièce finie, nous avons été amenés à nous demander si vraiment, elle avait une fin. C'est-à-dire: une vraie fin qui se pense depuis le début - ainsi que le disait Léonard - ou si elle était simplement arrêtée. (
Et ainsi est venu, à distance (nous sommes tous dans d'autres coins de la France maintenant) un petit moment de réflexion, de joute, de remaniement de cet exercice devenu "work in progress"... et qui pourrait - sans doute le rester - à l'infini.
Dont voici des traces.
marie
- Mais vous avez tout changé ... !
ruxandra
- J'ai bien aimé le fil sonore qui a été ajouté...
céline
- ... des mots tirés de notre liste de chaises, notre cascade chaichaichaichaichaiz qui est reprise à la fin, la position de la didascalie absences présences, l'intervention "Capucine à l'école"...
marie
Et en même temps c'est beaucoup mieux comme ça... plus rythmé, cohérent, on est plus accroché au début, ça avance.
maryse
Ça avance vers l'inconnu. On retombe sur des chaises musicales. On va d'histoires en histoires de chaises...
françois
Mais la didascalie à la fin, je l’enlèverais...
céline
Elle ne me dérange pas.
maryse
Maintenant le titre semble bizarre. Comme si on n'avait pas assumé le sujet. Est-ce qu'on en a besoin maintenant de ce titre ?
françois
Moi je vote pour... Même avec la didascalie à la fin...
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
« Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son. » Kaye Mortley
Après l'avoir oubliée, je viens de redécouvrir "et où s'en va la nuit..", la production du stage de documentaire de juillet - que je trouve très belle. Si j'aime cette pièce courte (et je sais qu'il y en a qui ne l'aimeraient pas du tout) c'est que, partant du son du monde réel, elle ouvre sur un espace imaginaire dans lequel l'auditeur peut se glisser, circuler, rêver à loisir : les différentes textures sonores, les espaces acoustiques, les personnages - ombres, silhouettes, fantômes - surgissent, disparaissent et circulent selon une logique qui leur est propre, et qui est quelque part très juste par rapport au "sujet" (sujet= prétexte à faire, dans ce cas).
En réalité, c'est ce rapport juste qui compte dans la réussite d'une pièce, la justesse du traitement... mais comment la jauger ? Comment s'en approcher, se l'approprier (surtout à neuf participants) je ne saurais le dire... Si ce n'est qu'on la reconnaît comme une évidence quand on le rencontre. Dans ce cas précis, cela a certainement beaucoup à voir avec la façon dont les participants ont su travailler ensemble, collaborer, partager leurs savoirs - et cela même aux moments où régnait un manque de conviction certain par rapport à l'aboutissement heureux - l'aboutissement tout court - du projet.
Ceci dit, la pièce n'est que la photo de la fin d'un stage - de même que la destination n'est que la fin de la route, "laquelle ne vient ni ne mène nulle part..." (pour paraphraser Henry Bauchau).
J'espère que sur ce bout de route ils auront fait quelques rencontres heureuses qui vont étayer leurs désirs sonores.
Kaye Mortley.
Participants :
Julien Tomazo |
Delphine Prat |
Laetitia Soligné |
Roinat MarieHélène |
Neichel Marie |
Martin de Torcy |
Charlie Atanasyan |
Maya Boquet |
Flavien Serein |
mixage = Mehdi Ahoudig
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
Faites venir le piano
En fait, on ne sait pas trop où on est. La seule info: on est à Arles.
Recherche d'un "secret", sur fond sonore d'errances et de piano préparé.
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
Fil blanc
C'est la Toussaint, puis le Jour des Morts... Un fil de son blanc nous conduit parmi de vieilles traditions de deuil.
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
Herbier sonore
Collection de petits sons provoqués, captés, coupés, ensuite disposés (comme des feuilles) sur un tissage de sons urbains.
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
Histoires de clefs 1, 2, 3, 4
Quatre récits sonores :
(1) le "sans clef"
(2) le serrurier
(3) la clef qui ferme
(4) la clef qui ouvre (les portes du paradis)...
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
« Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son. » Kaye Mortley
Il y a quelque chose qui cloche
Petit essai sonore sur la cloche, cri de métal inventé par l'homme...
Participants:
mixage: hervé birolini
stagiaires:
yann
bruno
clémence
gao
ismaël
sylvia
peter
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
Impressions
Chassé-croisé de souvenirs aux rythmes d'un train qui roule
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
Jonathan (portrait n° 1, en creux)
Jonathan, le jeune gitan, a disparu... Tout ce qu'on nous dit, c'est qu'il est parti.
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
L'arlésienne
Partir la recherche de celle dont on ne retrouvera que l'écharpe (celle peinte par Gauguin) à présent sur les épaules d'une autre Arlésienne.
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
« Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son. » Kaye Mortley
L'Habitation
Dix jeunes femmes - micro tendu - font résonner l'espace d'un appartement vide. De leur mémoire aussi: le son est souvenir. Rêverie sonore.
Participants:
mix: hervé birolini
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
L'heure du bain
Une goutte d'eau puissante suffit pour créer un monde. Et pour le dissoudre.
Le bain dans tous ses états. Depuis les Thermes de Constantin... jusqu'au bébé que l'on ne jette pas avec l'eau de son bain...
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
La bergère
Balade jusqu'au bout de la rue de Lappe (Paris XI e), à travers le clair-obscur des mémoires.
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
« Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son. » Kaye Mortley
Le cri de la tarasquette
La tarasque est un monstre mythique qui vit dans le Rhône d'où il sort, parfois, pour dévorer quelques humains (des hommes, jamais de femmes)...
Tentative de cerner l'imaginaire collectif avec du son.
Participants:
mixage: hervé birolini
stagiaires:
emilie mousset
vincent beaume
catherine moreau
jennifer moreau
dominique denat
philippe duval
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
« Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son. » Kaye Mortley
Liberté Lumière
L’Arlésienne peut aussi être trop voyante…tentative de portrait d’une figure qui dérange
Participants:
mixage: hervé birolini
stagiaires:
marcus gammel
bertrand gauguet
christophe tréhet
loic chusseau
laetitia mikles
xavier fassion
ollia horton
marié gérard
hélène coeur
patrick caradec
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
Lost property
Objets trouvés, objets perdus: récit/inventaire qui navigue entre fiction et réalité
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
Lucien C. (portrait n° 3, ironique)
Dans le petit village d'Arles il y a un homme que tout le monde connaît. Il s'appelle ...
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
« Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son. » Kaye Mortley
Many Roads
Errances, chemins de traverse, destins croisés...une photographe, une gitane, un écrivain, des filles, un pèlerin, des baroudeurs.
Participants:
mix: mehdi ahoudig
stagiaires:
anil bhosle
virginie valissant brylinski
sophie charlotte gautier
silvia etcheto
camilla panhard
nathalie renault
elsa robichez
solveig risacher
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
« Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son. » Kaye Mortley
Ne toquer pas trop fort
Portrait sonore d'une rue.
La rue de la Roquette (c'est la rue principale) elle fait un tournant, et à droite elle va vers les quais et puis si vous continuez sur la gauche vous allez tomber dans la rue Genive...
Participants:
mixage: sylvain richard
stagiaires:
claude gouin
pierre brody
jean christophe favel
matthias berger
raphael rialland
éloïse plantrou
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
Oedipos (portrait n° 4, pêle-mêle)
Des pieds qui marchent, des pieds qui résonnent, des pieds qui se chaussent, des pieds qui s'aiment, des pieds qui font mal, les pieds de Jésus, d'Oedipe et d'autres...
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
Où est passé Gaspard?
Des chiens... histoires de chiens que l'on promène en soi, avec soi, comme on promènerait son Gaspard à soi.
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
Pas nés en 68
Je vois un lieu, c'est un champ dans le Larzac, un grand champ... Il y a des hommes et des femmes... et des enfants qui courent tout nus...
Chassé croisé du réel et de l'imaginaire... Il y a ceux qui ont vécu 68, et puis les autres.
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
« Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son. » Kaye Mortley
Plein comme un œuf
Visite sonore (et subjective) du Musée Arlatan, actuellement fermé pour travaux...
Participants:
mixage: hervé birolini
stagiaires:
max et victorine
delphine saltel
david
Jean-Charles Baudou
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
Quatremobetdemie
Petit traité acoustique et ludique: Le son qui gêne
(France)
François Bordonneau, journaliste, co-produit et co-réalise depuis octobre 2014 les émissions Récréation Sonore (documentaires) et 37°2 (auto-portraits) sur Radio Campus Paris. Aime particulièrement l’idée du “cinéma sans images”, qu’il essaie d’approcher dans ses productions : documentaires, portraits, cartes postales sonores et un feuilleton humoristique.
Voila 25 ans que nos micros se baladent sur les berges du Rhône. Tout au long de l'année, des stagiaires affluent à Arles de toute l'Europe pour apprivoiser l'art des sons au contact de "maîtres" réputés. Kaye Mortley et Mehdi Ahoudig y enseignent le " documentaire de création". Dans l'émission "Récréation sonore" de Radio Campus Paris, François Bordonneau fait revivre de l’intérieur cet atelier, auquel il a lui-même pris part, à travers les témoignages des participants de la session de juillet 2015.
Réunis quelques mois après le stage qui n'a fait qu'aviver leur désir d'écrire avec les sons, ils s’expriment ici sur leur rapport intime au sonore, leur définition du documentaire « de création », le choix d’un sujet et sa réalisation, la force évocatrice du son et la nécessité de ce type de radio… Tout ça sur fond de séances de montage/mixage dans les locaux de l’Ecole de musique d’Arles.
L’émission se termine par « Sans Bruit la Rue Meurt », la pièce sonore d’environ 20 minutes fabriquée collectivement au cours de cette session de juillet 2015, à partir de sons glanés dans les rues d’Arles en surchauffe.
Avec les voix (par ordre d'apparition) de Kaye Mortley, Mehdi Ahoudig, Laura Tirandaz, Mickaël Filler, Violaine Ballet, Juliette Médevielle, Philippe Donnefort et Marc Jacquin, de l’association Phonurgia Nova
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
Rien que des rues
Se saisir du réel comme d'une palette... (Ernest Pignon-Ernest)
Poser dessus - touches, taches, traînées - d'autres couleurs sonores... des noms de rue, égrenés par leurs habitants.
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
« Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son. » Kaye Mortley
Stage Phonurgia Nova Juillet 2015
Technique : Mehdi Ahoudig
Il y 15 ans nous enregistrions encore sur de la bande magnétique. Aujourd'hui il n'y a plus de bande à couper, coller, recoller, plus de ciseaux... le preneur de son sauvage doit faire corps avec sa matière d'une autre façon s'il veut respirer avec l'autre. Mais si la technique a changé, l'auteur est toujours confronté à la nécessité de provoquer, par tous les moyens possibles, ce moment d'illumination où l'on voit jusqu'au fond des choses. Kaye Mortley a ses stagiaires : "Votre but ne sera pas de documenter la ville, ni de la restituer réellement. Ce sera plutôt de trouver des espaces vides de sens, les trous dans le tissu d'une réalité très forte. A partir de là, commencez à construire votre propre scène imaginaire".
"Sans bruit la rue meurt"
Une explosion, du verre brisé, des habitants évacués: un fait divers. Qui a entendu, qui a vu? En ville, un bruit court et se dérobe. Lancés à sa poursuite, on perd sa trace, mais pour trouver silence brut, bruits de fond, rumeurs et ouï-dires, légendes urbaines et madeleines sonores. Une création de 20 minutes, au cœur et à la périphérie de l'Arles sonore.
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
sis dessus, ci-dessous
Connaissez-vous les cryptoportiques?
Probablement pas... Elles sont bien cachées sous la terre. Elles, et leur histoire...dans une parfaite obscurité.
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
« Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son. » Kaye Mortley
Sonarles
La recherche d'un balayeur de feuilles mortes devient prétexte à une collecte de sons arlésiens, par une semaine d'automne, en 2009...
Participants:
mixage: mehdi ahoudig
stagiaires:
pierre jacquin
nabil el kaouay
yassin gaïer
solène salvat
alexandre coutaz
antoine dugne
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortle
Stéphane (portrait n° 5, musical)
Stéphane, né en Roumanie, joue du cymbalum sur la place de la République, devant une foule enchantée...
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
Traverser le pont
Pourquoi traverser le pont? Pour aller de l'autre côté, bien sûr. Du côté du son.
Pou écouter la musique du pont (suspendu) de Fourques. Répétitive, minimaliste, méditative,
elle demande: pourquoi traverser un pont?
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
« Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son. » Kaye Mortley
Un aller simple
Le petit train des Alpilles... et un voyage vers un passé présent.
Paricipant:
mix: mehdi ahoudig
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
«Un jour est venue l'idée de réunir les pièces sonores produites pendant nos ateliers d’Arles - non pas pour ériger des canons du genre, mais pour témoigner d'une démarche, d'un désir insistant : écrire avec le son.» Kaye Mortley
Une nuit
C'était donc une nuit tout à fait ordinaire à Paris... tout ce qu'il y a de plus normal...
Balade somnambule, rêve éveillé à travers la capitale.
(Australienne)
Australienne de naissance, basée depuis des années à Paris, Kaye Mortley se met à écrire avec les sons du réel suite à sa découverte du travail de l'Atelier de création radiophonique de France Culture dans les années 70, époque où les auteurs radiophoniques (comme certains cinéastes) délaissaient le studio pour la rue, à la recherche d'une autre façon de faire.
Ses productions voyagent dans toute l'Europe et au-delà et remportent de nombreux prix - prix Futura de Berlin (1979, 1983, 1985), prix Europa (1998, 2001) prix Italia (2005), Grand Prix de IRIB (2006).
Elle anime de multiples journées, ateliers et séminaires sur le documentaire de création. Notamment à Arles depuis 1989. Sa démarche pédagogique ne se différencie pas de son travail personnel qui cherche à interroger la spécificité du documentaire de création : explorer les frontières du réel et de la fiction, forger une syntaxe et un vocabulaire radiophoniques, construire un récit qui ne peut exister pleinement que dans cet espace dématérialisé qu'est la « radio ».
Les travaux de stage ici rassemblés (pour la plupart enregistrés à Arles) témoignent de ce type d'engagement avec le sonore du réel. Ils se réclament de cette tradition qui mise sur l'éloquence du son sauvage... capté dans la vie, puis taillé, mixé, poli en studio pour devenir aussi saisissant qu'une fiction... ou s'ouvrir sur une question.
Variations sur une chambre
stage Phonurgia dirige par Kaye Mortley et Medhi Ahoudig
avec Coralie, Charles-Henri, Hélène & Hélène, Ixchel, Yasmina, Charlotte et Viviane
Chambre à soi, chambre d'hôtel, chambre solitaire, chambre séparée,
Chambre conjugale, chambre cloîtrée, chambre d'enfant, chambre maudite…
Ecouter depuis l'"intérieur" ces chambres qui résonnent
Portes et fenêtres s'ouvrent
Dedans, dehors, confidences, silences secrets, chhhh….
"C'est notre présence qui définit le silence d'une chambre".
Remerciements à ATLAS, CITL, Fondation Van Gogh et les habitants d'Arles...